16 € Ouvrage illustré.

Editions Cabédita.

Editions Edilivre

15,50 €

Comprend des

illustrations.

Parmi les grands barons originaires des provinces de la Suisse qui au moyen âge étendaient leur domination sur les terres du pays romand, les sires de Montfaucon tinrent le premier rang, soit par l’illustration de leur maison et l’importance des seigneuries qu’ils possédaient sur les deux versants du Jura, soit enfin par le rôle qu’ils jouèrent dans le pays de Vaud et en Franche-Comté. A Montbéliard, le dernier à tenir la région fut Etienne de Montfaucon (1367-1397). Comme tous ses hoirs avaient disparu, il transmit ses biens à sa petite-fille, Henriette d’Orbe-Montfaucon qui se maria en 1407 avec Eberhard IV de Wurtemberg. Ainsi, la succession dynastique des princes de Wurtemberg allait s’imposer durant 400 ans sur le pays de Montbéliard, jusqu’à la Révolution de 1789.

Au cours du XX^e siècle, de nombreux nazis, responsables de crimes, d'horreurs, de déportation, de génocides furent recherchés dans le monde puis arrêtés et condamnés à mort. Certains échappèrent à la pendaison, dont la sentence fut commuée en peine de prison. Ce fut le cas notamment pour l'ex-colonel nazi Joachim Peiper, qui s'était réfugié en 1964 à Traves, petit village de Haute-Saône proche de Vesoul. L'affaire de Joachim Peiper, à la vie mythique et à la mort mystérieuse dans l'incendie de sa villa de campagne en 1976, ne fut jamais élucidée, en dépit d'une longue enquête judiciaire. Pourquoi ce nazi impénitent a-t-il quitté l’Allemagne pour venir s’établir sur le territoire français ? Quel est le nom du cadavre carbonisé retrouvé dans sa villa ? Crimes ? Substitution de cadavre ? Suicide ? Fuite de Peiper dans un pays étranger ? Qui a allumé le feu au « Ranfort », lieu  de villégiature de l’intéressé ?

En 2016, la Bourgogne et la Franche-Comté s’unissaient officiellement pour ne former qu’une seule région. Mais pour autant, le caractère identitaire de chaque province ne perd pas ses droits. Chacune a son parcours historique, ses femmes, ses hommes illustres qui ont marqué les deux Bourgognes : le Duché et la Comté.

Intéressons-nous à celles et ceux, qui, par leur talent ou leur renom ont marqué l’ancien comté de Bourgogne, mieux connu sous le nom de Franche--Comté.

Ouvrage illustré

93 pages. (16 €)

Editions Cabédita.

Editions Edilivre

15,50 €

Comprend des

illustrations.

Parmi les grands barons originaires des provinces de la Suisse qui au moyen âge étendaient leur domination sur les terres du pays romand, les sires de Montfaucon tinrent le premier rang, soit par l’illustration de leur maison et l’importance des seigneuries qu’ils possédaient sur les deux versants du Jura, soit enfin par le rôle qu’ils jouèrent dans le pays de Vaud et en Franche-Comté. A Montbéliard, le dernier à tenir la région fut Etienne de Montfaucon (1367-1397). Comme tous ses hoirs avaient disparu, il transmit ses biens à sa petite-fille, Henriette d’Orbe-Montfaucon qui se maria en 1407 avec Eberhard IV de Wurtemberg. Ainsi, la succession dynastique des princes de Wurtemberg allait s’imposer durant 400 ans sur le pays de Montbéliard, jusqu’à la Révolution française de 1789.

Au cours du XX^e siècle, de nombreux nazis, responsables de crimes, d'horreurs, de déportation, de génocides furent recherchés dans le monde puis arrêtés et condamnés à mort. Certains échappèrent à la pendaison, dont la sentence fut commuée en peine de prison. Ce fut le cas notamment pour l'ex-colonel nazi Joachim Peiper, qui s'était réfugié en 1964 à Traves, petit village de Haute-Saône proche de Vesoul. L'affaire de Joachim Peiper, à la vie mythique et à la mort mystérieuse dans l'incendie de sa villa de campagne en 1976, ne fut jamais élucidée, en dépit d'une longue enquête judiciaire. Pourquoi ce nazi impénitent a-t-il quitté l’Allemagne pour venir s’établir sur le territoire français ? Quel est le nom du cadavre carbonisé retrouvé dans sa villa ? Crimes ? Substitution de cadavre ? Suicide ? Fuite de Peiper dans un pays étranger ? Qui a allumé le feu au « Ranfort », lieu  de villégiature de l’intéressé ?

1943. Dans le département du Doubs, les usines Peugeot de Sochaux aux mains des nazis étaient bombardées dans la nuit du 15 au 16 juillet par la R.A.F. (aviation anglaise). Les usines ne furent guère touchées en raison d'un repérage (cible) erroné. En revanche, la ville de Sochaux fut quasi anéantie faisant d'importantes victimes parmi la population civile. On craigait un second raid. Pour l'éviter, c'est alors qu'un groupuscule de résistants courageux et intrépides entreprirent le sabotage et la destruction de moyens vitaux inhérents à la production. Ainsi, ils entendaient prouver aux Alliés que l'entreprise n'était plus en état de fonctionner. Non sans mal et au dépend de leur vie, les travaux de sape furent parfaitement réussis. A  la lueur des photographies expédiées outre-Manche, la R.A.F. renonça à un second raid.

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